dimanche 28 mai 2017

Auguste Laurent, premier revuiste wallon carolorégien......

 




LAURENT, Auguste

Courcelles, le 13 juin 1841 - Courcelles, le 27 août 1903.

Pseudonyme : Gusse Pichaud.

Auguste Laurent était ferblantier de son état et son commerce était situé dans l’actuelle rue Winston Churchill au n° 281.

Auguste Laurent était avant tout un auteur de chansons de circonstance , véritables « Pasquèyes» avec mises en scène, figurations, etc... Dans ses chansons, il donnait libre cours à son esprit satirique et à sa verve mordante qui n'épargnaient personne. En voici un exemple tiré du livre Histoire de Courcelles d’Élie Lemal :

« Il y avait dans une localité voisine un instituteur de moralité douteuse. Cet individu s'était approprié la caisse d'une société de "pigeonnistes" dont il était le trésorier, d'où scandale. Laurent décida de le r’moustrer en public. Quelqu'un endossa une défroque faite de toile d'emballage, on lui passa les menottes et flanqué de deux gendarmes, il fut conduit sur un terpadje (estrade) édifié sur la place de Courcelles. Deux violonneux l'encadraient, l’un était le Bwagne (le Borgne) et l'autre, le célèbre Djan d’Zébo (1) et, avec un accompagnement de musique, on débita des couplets composés pour la circonstance par Laurent sur les aventures de «Tireboûse. »

S'étant parfaitement reconnu et vexé, l'instituteur en question  traîna A. Laurent devant la Justice. Mais, notre pétulant chansonnier fut acquitté.

C'est après avoir assisté à une représentation théâtrale à Mont-sur-Marchienne qu'Auguste Laurent, Zande du Ballon et Joseph Mascaux eurent l'idée de créer un cercle dramatique. Quelques jours plus tard, « L'Union fraternelle » naissait à Courcelles avec comme président, Auguste Laurent.

En  1873, Gusse Pichaud  écrivit la première pièce dialectale du répertoire carolorégien : la revue locale L’ancien et le nouveau Courcelles : seuls le titre et les deux chants finaux sont en français. La revue fut créée le 15 mars 1874 sur la scène de la salle du Ballon (2)

Après quelques années d’existence, la compagnie se divisa. Auguste Laurent s'installa au Waux-Hall . Vers 1885, un nouveau cercle est créé par Laurent avec les vestiges des deux autres : « Les Anciens Amateurs ».

L'année suivante, son second vaudeville Un drame dans les Houillères, est représenté pour la première fois à Courcelles le 07 mars 1875 par l’Union fraternelle en la salle de Lavandy. C'est l'artiste-peintre courcellois Nestor Jonet qui réalisa les décors et tableaux de la pièce.

Auguste Laurent a  écrit des dizaines de chansons dont les textes ont été perdus. Mais, dans son Histoire de Courcelles, Elie Lemal nous informe qu'il a vendu dix mille exemplaires de trois d’entre elles. Il s’agit de La Veuve joyeuse, Gabriel Ramon et Lès Caches a nids.

Pour conclure notre notice consacrée à Auguste Laurent, signalons que ce dernier était présent avec François Yernaux (3) à la réunion constitutive du premier cercle littéraire wallon carolorégien , « Les Wallons du Païs de Charlèrwet » le 21 août 1898. Il a également collaboré au « Tonnia d'Charlerwet ».

 Alain Richir et Luc Heuchon 
(Tous droits réservés - Reproduction partielle autorisée sous la condition de citer la source.)

Sources bio-bibliographiques

Association littéraire wallonne de Charleroi

Les trois... op. cit. , 3e partie, p. 48.

Barry, Félicien

270 écrivains. op. cit. , p. 99-100

Bastin, Omer

Auguste Laurent : le premier auteur dramatique wallon de notre région,

« El Bourdon… »,

15e année, n° 178, juin 1964, p. 142.

Naissance… op. cit., p. 33.

Closset, Joseph

op. cit. , p. 33.

Littérature... op. cit., p. 187.
 
         Coppe, Paul et Pirsoul, Léon

Dictionnaire…, op. cit., p. 234.


Deltenre, Armand

Courcelles… op. cit., p. 100


Dictionnaire de la chanson…, op. cit., p.

Laurent, Auguste…

Auguste Laurent,

« L’Hûlaud… »,

2e année, n° 3, mars 1924, p. 1-2.

Lempereur, Emile

Calendrier … op. cit. p. 59.

Un document vraiment exceptionnel,

« La Nouvelle Gazette », 

30 Septembre 1982.

Les lettres. . .  op. cit. p. 94.

Lemal, Elie

Histoire… op. cit. , p. 105-106.

Meurée, René

Nos.... op. cit,, p. [8]

Vandereuse, Jules)

Le théâtre wallon... op. cit., p. 50.
 
Bibliographie : 
N.B. : la bibliographie, sans prétendre à l'exhaustivité, ne comprend pas  les textes de chansons  d'Auguste Laurent. 

Monographies

L'ancien et le nouveau Courcelles : revue locale : Comédie-vaudeville inédite en cinq actes représentée pour la première fois à Courcelles le 15 mars 1874 par la Société dramatique « Union Fraternelle » en son local, salle du Ballon

. - Courcelles : Imprimerie de Dawant -Tierce, 1874

. - 52 p. ; 18 cm


Lî flûte enchantée : mélodrame féérique en un acte / Auguste Laurent ;

musique d'Alfred Lemaire

. - Charleroi : Librairie wallonne du Tonnia, 1902

. – 31 p. ; 19 cm


Les inconvénients du célibat : vaudville en in acque

. - Charleroi : Librairie du Tonnia, 1903

. – 27 p. ; 19 cm


In drôle di pindu : vaud'ville en in acque

. - Charleroi : Imprimerie du Tonnia d'Charlerwet, [1898]

. - 27 p. ; 19 cm


Revue « Courcelles-attractions »
. - [S.l. : s.n., s.d. ]
. - 1 vol.


La revue de « Gosselies »
 . - [S.l. : s.n., s.d. ]
. - 1 vol.


In lend'moin d'carnaval à Binche
 . - [S.l. : s.n., s.d. ]
. - 1 vol.


In voëyâtcbe det noce à Bruxelles : vaud'ville wallon en in acque

. - Charleroi : Imprimerie du Tonnia, C1901

. - 30 p. ; 19 cm


Un drame dans les Houillères : vaudeville en 4 actes ; suivi de, « Les inconvénients du célibat » / par M. Auguste Laurent ; musique de Hyacinthe Michaux

. - Courcelles : Mascaux François, [18--?]

. - ? p. ; 18 cm

. - (Scènes populaires locales)

. - Représenté pour la première fois à Courcelles le 07 mars 1875 par l’Union fraternelle en la salle de Lavandy

. - Les décors et tableaux étaient dus à Nestor Jonet


Écrits périodiques




L'Tonnia



Les inconvénients du célibat : vaudville en in acque,

5e année, n° 11, 18 mars 1899, p. [3].

5e année, n° 12, 25 mars 1899, p. [2-3].

5e année, n° 13, 01 avril 1899, p. [2-3].

5e année, n° 14, 08 avril 1899, p. [2-3].

5e année, n° 15, 15 mai 1899, p. [2-3].

5e année, n° 16, 22 Mai 1899, p. [2-3].


In drole det pindu : vaudville en in acque,

4e année, n° 42, 15 octobre 1898, p. [2-3].

4e année, n° 43, 22 octobre 1898, p. [2-3].

4e année, n° 44, 29 octobre 1898, p. [2-3].

4e année, n° 45, 05 novembre 1898, p. [2-3].

4e année, n° 46, 12 novembre 1898, p. [2-3].

4e année, n° 47, 19 novembre 1898, p. [2-3].

4e année, n° 48, 26 novembre 1898, p. [2-3].


In voëyatche det noce à Bruxelles : comédie-vaud'ville en in acque,

7e année, n° 43, 26 octobre 1901, p. [2].

7e année, n° 44, 02 novembre 1901, p. [2].

7e année, n° 45, 09 novembre 1901, p. [2].

7e année, n° 46, 16 novembre 1901, p. [2].

7e année, n° 47, 23 novembre 1901, p. [2].

7e année, n° 48, 30 novembre 1901, p. [3-4]

7e année, n° 49, 07 décembre 1901, p. [2-3].

jeudi 13 avril 2017

Guy Garcet, le Chantre des Collines.

Souvret, le 5 mai 1939 – Balnain-Drumnadrochit (Ecosse), le 30 mars 2002

Fils de Maurice Garcet et de Léa Godeau et père d’une fille prénommée Nathalie.

Auteur-compositeur-interprète autodidacte.





Guy Garcet a fait ses Humanités anciennes à l’Athénée du Centre (Athénée provincial Arthur Warocqué) à Morlanwelz où, il a été pendant trois ans un des compagnons de classe d’André Trigaux, ancien bourgmestre de Courcelles.

Par la suite, il fréquenta l’Ecole normale secondaire de Nivelles avant de suivre une formation de pilote à l’Ecole d’aviation civile de la S.A.B.E.N.A.

Guy Garcet effectua son service militaire dans la force navale en 1958. C’est d’ailleurs son plus mauvais souvenir. Mais son meilleur souvenir est lié à sa scolarité.  C’est à dire à la classe de poésie de 2ème gréco-latine. Et plus particulièrement à Monsieur Robert Joly, un de ses professeurs de français.
 

Ensuite, il entre comme pilote de ligne chez S.A.B.E.N.A. Guy sera licencié en 1968 suite à la politique linguistique. C'est ainsi qu'il deviendra cadre chez I.B.M. où, il rencontrera Hélène Morleghem qui deviendra son épouse.

Auteur-compositeur, Guy Garcet commença à composer vers l’âge de 40 ans et chantera nous confia-t-il, lors de notre rencontre fin des années 80,  pour « passer » le temps. Il commença à composer et chanter ses chansons en privé. C’est une chanson qu’il a écrite sur son Pays noir qui l’incitera à essayer de diffuser ses créations. Mais, il n’arrive pas à imposer sa chanson, personne n’en veut. 

Alors, il s’inscrira à « Arts et Vie » pour avoir plus de chance de se produire et faire connaître son œuvre. Mais, les conditions imposées sont difficiles à assumer par notre artiste point de vue financier.

La préférence musicale de Guy Garcet allait à la bonne chanson française avec une prédilection marquée pour le chanteur Georges Brassens. Il était également fan de l’humoriste Raymond Devos.

Après une enfance et adolescence souvrétoise, Guy se fixera avec ses parents dans la région des Collines (Région de Ath). Par la suite, il habitera rue Saule Pendu, 14 à Buissenal avant de partir vivre en Ecosse. 


Plus précisément à Balmain-Drumnadrochit au bord du Loch Ness (1)
 
Guy Garcet - UrquhartBrooms
 Quoique sa carrière de chanteur débuta, comme dit plus haut après la quarantaine, Guy Garcet s’est produit dans divers cabarets et a enregistré quelques disques entre 1988 et 1992. Il est à noter que vers l’âge de 18 ans, il chante au gré des rues bruxelloises comme beaucoup de jeunes de son époque. Il aimerait faire carrière dans la chanson mais, ses parents ne voient pas la chose d’un bon œil et comme, il est un peu timide...

En matière de tours de chant, il se produira par la suite dans divers cabarets  à Liège, Mons et Ath et eut la chance de faire partie de la programmation de plusieurs programmes radiophoniques.  Les chansons de Guy Garcet furent d'ailleurs souvent programmées dans les célèbres « veillées » de Gérard Noël.

C’est ainsi qu’il eut le privilège de passer sur les ondes de Radio-Hainaut et sur diverses radios locales.

Son premier vrai récital, il le fit à Liège à l’invitation de l’association pour la Promotion de la Chanson française, les Amis de Bruno Brel. Il aura le bonheur de côtoyer des artistes tels que Philippe Anciaux, Jacques Hustin, René Fourré (2)...

Grâce à cette association, il se produit à l’ «Eden Palace», «Les Forges», «Le Cabaret des Hauteurs» dans la région liégeoise. Ensuite, cela s’enchaîne et il se produit un peu partout en Wallonie.

En 1986, il a « amassé » assez d’argent pour auto-produire son premier 33 tours « Voilà que je chante ». Ce disque fait suite à un 45 tours où se trouvent les deux  titres suivants : « Au Pays des Collines » et « Que la vie est jolie ». Les 10 chansons présentes sur l’album avaient été choisies parmi des chansons écrites sur une période de 25 ans par notre auteur-compositeur.

En juin 1987, son disque « Voilà que je chante » est 33 tours  de la semaine de l’émission.

A l’initiative de Jacques Vandewattyne (3), il se produit à Ellezelles où il sera intronisé à «L'ordre du Ramon » lors du  « Sabbat des sorcières » de 1987.

Du 28 avril au 2 mai 1988, il se produit au café chantant « La Tranche de l’Art » situé rue de Nimy à Mons. C’est également en mai 1988 que Guy est l’invité de l’émission « Hainaut Matin » sur les ondes de la R.T.B.F.

Grâce aux « Royalties » engendrées par « Voilà que je chante », l’année 1989 voit l’enregistrement d’un deuxième 33 tours, « Venez goûter à ma chanson ».


 

Guy Garcet continuera  à se produire dans divers cabarets et donnera un concert le samedi 24 janvier 1989 au Centre culturel d’Ath pour présenter son deuxième album. Il reviendra y chanter le vendredi 1er décembre de la même année.



 

Il se produira également le premier dimanche d’août 1989 à la fête de la moisson à La Hamaide.

 

Après avoir chanté le Pays des Collines à Ellezelles et sur la Grand Place de Bruxelles à la demande de Jacques Vandewattyne, il est à nouveau invité par ce dernier à chanter sa chanson sur les Champs Elysées lors de l’accueil du Diable des Collines lors de son entrée à Paris. Assisteront, entre autres belges et personnalités françaises, à cette manifestation Herman De Croo, José Happart, Charles Picqué, Antoinette Spaak, Guy Spitaels, Michel Tromont, …

En 1990,  nouvelle étape artistique pour Guy Garcet. Une soixantaine de ses textes sont publiés aux Editions d'Alcrena.





Et en 1992, il prendra sa retraite et s’installera en Ecosse avec son épouse (4) .

Là, il écrivit un livre resté racontant "L'Année du Prince" ("Bonnie Prince Charlie" et la bataille de Culloden). Malheureusement, le livre ne trouva pas éditeur et resta sous forme de manuscrit. Il écrivit également quelques dialogues pour des musiciens de music-hall.

Et surtout, il se remit à la peinture. Ses œuvres picturales seront essentiellement consacrées à cette terre écossaise qu’il affectionnait tant et où, il repose à jamais.



Guy Garcet - Autoportrait

Son recueil de textes et ses disques sont consultables à la salle de lecture de la Bibliothèque communale de Courcelles.

 

(1) Balmain-Drumnadrochit se situe au cœur de la baie d’Urquhart sur le littoral septentrional du Loch Ness.

(2) René Fourré est né à Lontzen en 1939.
Pianiste, compositeur et arrangeur, il a étudié au Conservatoire de Liège. Il a collaboré comme arrangeur pour Guy Garcet, Jacques Hustin, Guy Lukowski, … René Fourré a également écrit et enregistré plusieurs chansons.
(3) Jacques Vandewattyne est né le 26 juin 1932 à Ellezelles, un village de Wallonie Picarde en Belgique. Il est décédé à Bruxelles, le 24 juin 1996 à Bruxelles. Initiateur du Folk-Art et créateur du « Sabbat des Sorcières » d’Ellezelles le 1er juillet 1972.

  (4) Pour l'occasion, un texte de Guy sera publié dans la revue de "La Pensée wallonne" : "Devenir vieux"... tout un programme...


Alain Richir et Luc Heuchon

(Tous droits réservés - Reproduction partielle autorisée sous la condition de citer la source.)


Sources bio-bibliographiques

Questionnaire et interview

Entretien avec son épouse

http://www.artnessy.net/souvenir.htm

Articles de presse

 

Bibliographie

Monographies



Voilà qu’je chante… : 60 poèmes en chansons…
. – Ormeignies : Ed. d’Alcrena,1990
. – 143 p.
. – Tirage à 500 exemplaires


Textes


Devenir vieux,
« La Pensée wallonne »,
N°142, p. 16


Discographie

Voilà que je chante [Enregistrement sonore] / paroles et musique : Guy Garcet ; transcription musicale : Pierre Deroubaix ; arrangements et orchestration :
René Fourré
. – Buissenal : chez l’auteur, 1986
. – 1 disque 33 t. (17,19’ ; 16,27’)

Au pays des collines [Enregistrement sonore]
. – Buissenal : chez l’auteur, 1987
. – 1 disque 45 t.

Venez goûter à ma chanson [Enregistrement sonore]
 / paroles et musique : Guy Garcet ; arrangements : René Fourré ; prise de son : Luc Baiwir
. – Buissenal : chez l’auteur, 1988
. -  1 disque 33 t. (14,04 ; 16,83’)

jeudi 17 novembre 2016

Le Riverboat Jazz Club se voulait " Un club puissant et vivace..."

 

En l'année 1974, une poignée d'amateurs purs et durs férus de jazz donnait naissance à l'A.S.B.L. "Riverboat Jazz Club de Courcelles". 

Le "Riverboat Jazz Club" se voulait "un club puissant et vivace..."

Son but : "...faire connaître le Jazz véritable, par des concerts, auditions, jam-sessions, conférences, etc..."

En ce mois de septembre 1974, le Comité à la barre du club était composé de :

Président : le Docteur Henri Plaisant, Vices-présidents : Messieurs F. Tirot et Jim Herman (1), Secrétaire : Monsieur G. Postiaux, Trésorière : Madame Lucette Plaisant.

Membres : Messieurs Robert Tassin (2), A. Siernicki, Jacques Deghorain (3) et Francis Lafosse
 
Le club organisa son premier concert  le samedi 21 septembre 1974. Cette soirée se voulant une soirée découverte ouverte à tous s'intitulait " Jazz à tout âge" afin de présenter "un jazz susceptible d'intéresser un large public". 



Sextet "Jean-Pol Vanderborght" le 21/09/1974  (Photo Francis Haine - Collection Giuseppe Turco)






C'est le sextet "Jean-Lou et son bastringue" qui eut l'honneur d'ouvrir le bal à la salle "Le Stuart" au Petit-Courcelles.

"Jazz à tout âge" - Vue du public (Collection Giuseppe Turco)


Ce concert fut le prélude à bien d'autres concerts de jazz.




Autres manifestations :

1975 : New Dixie College Band ( Verviers) à la salle "Le Stuart" à Courcelles


(Collection Giuseppe Turco)




31/05/1975 : Sadi à la Salle du Belvédère à Courcelles


Sadi (deuxième à gauche de la photo) en compagnie d'une partie de l'assistance (Collection Giuseppe Turco)


10/10/1975 Jack Gondry and His New Music 


Formation Jack Gondry (Collection Giuseppe Turco)



Concert "Jack Gondry" - Assistance (Collection Giuseppe Turco)

 22/11/1975 : Les "Dixie Stompers" au Château de Trazegnies


Dixie Stompers 22/11/1975  (Collection Giuseppe Turco)


Vue de l'assistance (Collection Giuseppe Turco)
à gauche de la photo : Maria et Jacques Deghorain (3)  (Collection Giuseppe Turco)

1976

1977

12-02-1977 : The Cotton City Jazz Band 


The Cotton City Jazz Band (Collection Giuseppe Turco)



(Collection GiuseppeTurco)


Barry Martin and The Legends of Jazz - Samedi 15-10-1977
 
Barry Martin and The Legends of Jazz ( Collection Giuseppe Turco)



1978

04-02-1978 : Real Jazz' Express


Real Jazz Express (Collection Giuseppe Turco)


 18-03-1978 : Les Haricots rouges


Invitation au concert des "Haricots rouges" (Collection Giuseppe Turco)


 
 "Les Haricots rouges" sur scène (Collection Giuseppe Turco)



Les Haricots rouges et Lucette Plaisant (Collection Giuseppe Turco)


27 mai 1978 : The Rudy Balli Society Serenaders 

The Rudy Balli Society Serenaders (Collection Giuseppe Turco)



(1) Jim Herman dit "Big Jim" Herman. Big Jim était clarinettiste et membre fondateur du "Big Jim's Ragtime Band", excellent groupe de jazz "New Orleans" cantonné à Trazegnies.
(3) Jacques Deghorain, instituteur de son état et membre du "Big Jim's Ragtime Band". Son instrument : le tuba.
 

Avec un tout grand merci à Giuseppe Turco pour le prêt les documents illustrant cette notice.

Bibliographie

Plaisant (Henri)

Le Riverboat Jazz Club / photo Francis Haine
In
"La Petite Lanterne",
n° 1209, vendredi 13/09/1974, p.[2]

Sibiak, Michel

"Jazz à tout âge" pour la première du "Riverboat Jazz Club" de Courcelles
in
 "La Petite Lanterne",
n° 1211, vendredi 27/09/1974, p. [1], photo
 

Alain Richir et Luc Heuchon

(Tous droits réservés - Reproduction partielle autorisée sous la condition de citer la source.)


Commentaires